La marque suédoise Asko propose des lave-linge, des solutions de buanderies, des lave-vaisselle et des appareils de cuisson. Il s’agit d’équipements premium, développés avec le plus grand soin, conçus à partir de matériaux robustes de grande qualité. Performances et durabilité président à chaque étape de leur conception.
Nous avons pu visiter les laboratoires de R&D de lave-vaisselle d’Asko, installés en Suède, à Lidköping. Nous avons ainsi pu en apprendre plus sur la manière dont la marque scandinave développe ses produits et les teste pour garantir leur efficacité tout autant que leur durabilité. La marque est née en 1950, dans une communauté agricole suédoise, quand Karl-Erik Anderson fabrique un lave-linge artisanal pour soulager le quotidien de sa mère. En se fixant pour objectifs de construire un appareil pratique, qui soit le meilleur possible, consomme peu et ne tombe jamais en panne. Intéressé par l’objet, un vendeur itinérant faisant du porte à porte demande au jeune homme d’en fabriquer plusieurs exemplaires afin de les vendre. C’est ainsi que démarre l’aventure Asko. Alors que l’entreprise grossissait et se développait, elle n’a jamais perdu de vue ces valeurs, qui perdurent encore aujourd’hui.
Asko est surtout connu en France pour ses gammes lavage et cuisson. Mais dès 2024, la marque présentera ses gammes de froid dans l'hexagone.
La robustesse et la durabilité dans l’ADN d’Asko
Solidité et durabilité font partie de l’ADN de la marque. Cela est notamment lié à ce que l’on appelle le design scandinave, selon le Directeur du département design d’Asko, Jon Carlehed. Il s’inspire du mode de vie des habitants des pays nordiques, proches de la nature et respectueux de l’environnement. Pour Asko, développer des appareils robustes, qui durent et consomment peu d’énergie est donc une évidence. En outre, comme le fait remarquer le designer, en Suède, certains habitants vivent dans des zones reculées qui deviennent peu accessibles lorsque les routes se couvrent de neige ou de verglas. On doit donc apprendre à vivre en autonomie et on ne peut pas se permettre d’avoir des appareils qui tombent en panne, surtout quand ils sont indispensables à la vie quotidienne.
Voilà les valeurs qui président au développement des équipements d’Asko : respect de l’environnement, solidité et durabilité. Pour autant, ils demeurent fonctionnels, faciles à utiliser et minimalistes, respectant des caractéristiques incontournables du design scandinave.
De la conception quasi artisanale dans les années 50 à des usines ultramodernes aujourd'hui, Asko a toujours veillé à la solidité de ses appareils, privilégiant le métal au plastique.
Matériaux triés sur le volet et tests drastiques
Pour assurer la durabilité de ses équipements, notamment de ses lave-vaisselle (c’est le département R&D que nous avons visité), Asko commence par choisir des matériaux robustes. La nouvelle gamme DW60 utilise un minimum de pièces en plastique, privilégiant l’acier inoxydable. C’est dans ce matériau que sont conçus les huit pièces principales qui composent ces lave-vaisselle (cuve, bras d’aspersion, tube d’alimentation pour l’aspersion, paniers, base monobloc, filtre, pieds revêtus d’embouts en plastique et intérieur de porte) – autant dire une très grande partie des appareils. Cela contribue à l’impression de robustesse que l’on perçoit dès qu’on ouvre la porte d’un de ces équipements.
Conçus pour durer au moins 20 ans, les lave-vaisselle sont systématiquement soumis à des tests drastiques, par des bras robotisés, pendant 12500 heures. Cela correspond à 12 heures d’utilisation par semaine pendant vingt ans.
Quant aux performances de lavage, elles sont testées dans des conditions extrêmes, notamment avec de la vaisselle maculée de taches particulièrement incrustées comme du jaune d’œuf et de l’épinard que les ingénieurs laissent sécher durant une longue période avant de réaliser les tests d’efficacité.
La nouvelle gamme de lave-vaisselle offre un système d'autodosage qui permet de garder ses produits détergents habituels.
Des caractéristiques uniques sur le marché des lave-vaisselle
Les nouveaux lave-vaisselle de la série DW60 regroupent des caractéristiques rares, qui font affirmer à Asko qu’il s’agit des « meilleurs lave-vaisselle du monde ».
Et cela ne tient pas seulement à leur durabilité. Leur cuve de grand volume peut accueillir jusqu’à 17 couverts. Ils disposent d’une fonction de dosage automatique du détergent, d’un système de désinfection par lumière UV-C (UV Cleanse) qui élimine jusqu’à 99,99% des bactéries et champignons, d’une fonction push to open sur les modèles intégrables (où il suffit de pousser sur la porte pour qu’elle s’ouvre) ou encore d’un programme auto-nettoyant.
Nous pouvons également citer l’ingénieux système qui évite le développement des odeurs, grâce au déclenchement régulier, plusieurs fois par jour, du ventilateur placé à l’intérieur de la porte. Cette dernière renferme également un capteur qui détermine le meilleur moment pour ouvrir la porte en fin de cycle, afin d’optimiser le séchage en limitant le phénomène de condensation (en tenant compte de la température de la pièce).
Le silence est également de mise (38 dB), de même que la modularité, depuis les paniers qui comportent de nombreux éléments mobiles jusqu’aux bras d’aspersion Power Zone, dont le jet peut être adapté au type de vaisselle chargé (grands plats, plats très encrassés, éléments long et hauts…).
Manger mieux c'est manger moins en cuisinant de bons produits. Raison de plus pour ne pas rater leur cuisson, ce qui devient impossible avec la technologie Celsius.
Tables de cuisson Celsius, pour ne plus rien rater
Lors de ce déplacement, nous avons également pu découvrir les tables de cuisson à induction Celsius Cooking (déclinées en finition classique ou noir mat). Elles promettent une cuisson précise au degré près, qui d’après les démonstrations et l’avis des chefs, garantit de ne plus rater aucun plat. Elles peuvent s’utiliser de manière classique, proposant alors 13 niveaux de puissance.
On peut également s’appuyer sur des températures préprogrammées pour faciliter les cuissons. La dernière possibilité, pour cuire avec une précision au degré près, consiste à utiliser la sonde fournie, qui se place dans les récipients. Pour obtenir la même précision lorsqu’on réalise une sauce, un caramel, qu’on fait fondre du beurre ou frémir de l’huile, les casseroles dédiées Asko (qui contiennent elles-mêmes une sonde) seront plus indiquées. Celles-ci sont disponibles comme accessoires (casseroles de 20 ou 28 cm, vendues à 300 € l’unité).
Deux chefs qui étaient présents nous ont démontré que cette précision permet d’abord de ne rater aucun plat, même laissé sans surveillance. Car si on a réglé correctement la température et si celle-ci demeure stable, il n’y a aucun risque de surcuisson – en l’occurrence, cela fonctionne aussi bien avec des œufs parfaits par exemple qu’avec une viande rouge, une volaille, du poisson ou des légumes. Cela présente donc un autre avantage : la possibilité de préparer son repas à l’avance et de le laisser sur la table de cuisson, sans risquer que les plats soient trop cuits ou brûlés.
